Il faut rentrer. Il paraît qu’il va neiger à NY.
En changeant de métro dans Brooklyn, je vois une dernière boutique.
Je prends le C qui devient le A je ne sais toujours pas trop par quelle magie…
Ensuite il faut prendre « l’air train » un métro aérien speed qui fait le tour des terminaux.
A l’aéroport, je vois un dernier drapeau, ah on se disait aussi. et c’est Decaux qui fait les écrans géants publicitaires. Eh ben, il a pas fini de se sucrer celui là, même à NY…
Au contrôle, on passe dans une machine comme quand Goldorak met ses habits de robot Goldorak, et il faut lever les mains en tee shirt et sans godasses. « Hands Up », ah ouais.
Le voyage en avion s’annonce plein d’amusements.
D’abord, Corentin m’avait enregistré par mail avec sa tablette pour que je sois à côté du hublot de NY à Varsovie. Raté. J’étais bien au milieu et le fille du hublot dormait avec l’oreiller sur le carreau. J’ai pas regretté, il faisait nuit et il pleuvait.
Ensuite ma voisine polonaise qui ne parle pas un mot d’anglais ne comprend pas que le bouton qui penche le siège en arrière c’est à gauche bien que je lui ai expliqué… y’a rien à faire, alors du coup elle trifouille le mien et je fais de la balançoire… Madame, c’est à gauche du siège, A GAUCHE bordel ! (j’ai fini par carrément bouger son siège avec son truc à elle en gardant un sourire crispé).
Ensuite on arrive à Varsovie (re), il y a des voitures exposées au lieu de sièges pour s’asseoir. Mais faut que je patiente 6 heures, je finis par choper une place quand même… pour patienter je fais des photos de l’avion… (merde c’est pas le mien, le mien est dans deux heures) …
GR un retard d’une heure est annoncé en plus… je regarde ce qu’on peut manger, rah ! la bouteille d’eau à 8.99 euros -oublie que t’as faim- alors, je regarde autour de moi : tout le monde a un écran, un ordi une tablette, un smartphone… sauf un couple avec un livre chacun.
… je m’occupe avec des photos du soleil qui va se coucher à 5 heures…
Et enfin je monte à bord ! Chouette un hublot ! ils sont marrants les polonais, ils te souhaitent la bienvenue sur les sacs à vomi.
Mon voyage se termine, c’était bien.